NANCY LANGEVIN
Artiste visuelle

Découvrir l'histoire… ▼ | À propos de l’artiste… ▼
L'Esprit de la forêt
Avant, il n’y avait que la forêt : un milieu sauvage, grouillant de vie, où faune et flore se côtoyaient librement.
Puis l’humain est arrivé. Campagnes, villages et villes ont envahi l’espace, laissant de moins en moins de place à ses premiers habitants. Pourtant, nous ne sommes ici que de passage : cette terre ne nous appartient pas.
« L’Esprit de la forêt » est mon regard porté sur cette nature intacte et ses habitants. Le renard, le coyote, le pékan, le lynx : fantômes discrets dont les traces révèlent l’invisible. D’autres, plus téméraires — comme le héron ou le lièvre — nous offrent parfois le privilège de leurs apparitions.
Dans sa grandeur, sa fougue et sa paisibilité, « L’Esprit de la forêt » est une fenêtre ouverte sur une vie sauvage qui ne demande qu’à le rester.
Biographie
Artiste émergente autodidacte, Nancy Langevin possède un sens artistique expressif empreint d’émotions. Dotée d’un fort instinct doublé d’une spontanéité certaine, elle dessine tantôt des modèles vivants, inspirée par les beautés du corps humain, tantôt des panoramas urbains, tantôt fantaisistes, tantôt réalistes, inspirée par le charme de la ville.
Elle peint sur toile, mais noircit également la feuille de fusain ou d’encre noire. Elle exprime avec sensibilité les émotions et le mouvement à travers chacun de ses traits.
Démarche artistique
Nancy Langevin aime explorer de nouveaux sujets, des techniques de travail et des médiums. Elle porte un regard personnel sur la beauté des êtres vivants et sur la singularité des lieux traduisant ses perceptions en œuvres d’art.
Que ce soit par la peinture sur toile avec des allures graphiques, des couleurs vives et contrastées ou via le dessin de modèles vivants aux envolées gestuelles de fusain et de pastel sec, elle se plaît à immortaliser ce qui ravit son œil. L’esprit de la forêt, de sa faune et de sa flore s’invite de plus en plus dans ses œuvres. Son style s’affirme, il est toujours nourri par un désir de maintenir sa réceptivité, principale courroie de son inspiration.